mercredi 13 février 2013

SONGE DE NAOMIE SUR LE SAMARITAIN

Ce dernier Mardi 22 Janvier, j’ai eu un songe que je qualifierais de très surprenant,
tant il était parlant dans sa signification et dans son détail.
« Je voyais une ligne infinie de « chasseurs » c’est du moins ce que je croyais voir, mais en réalité, c’était des soldats, des guerriers partant au combat. Surprenant combat !
Ils partaient pour tuer, et leur cible, étrange également, était sous l’apparence de canards sauvages volant non pas comme ont l’habitude de faire ces volatiles, mais ils se tenaient en hauteur, entre ciel et terre, à hauteur des yeux des hommes armés. Ils se servaient de leurs ailes non pour voler comme un oiseau, mais ils se servaient d’elles comme des pagaies, des rames. Etrange n’est-ce pas ?
Je voyais les soldats tirer une balle à la fois, et a chaque fois tombait un oiseau. Ils avançaient en ordre de marche, en ligne régulière, les oiseaux devant eux, et sur un terrain plat verdoyant. Une grande plaine devant eux.
Ils ne se soucis pas des victimes à terre, ils les laissent là ou elles sont tombées, cela n’est pas leur problème. Leur problème est de tuer, tout en avançant, en allant droit devant, en prenant possession du terrain.
Quelque chose m’interpelle alors, à mes pieds, caché sous un journal dont je constate qu’il est imprimé recto-verso, un petit animal, un lapin de couleur grise, caché là, tout seul. Il sort de temps à autre de sa cachette (le journal), on peut l’apercevoir mais nul ne prête attention à lui.
Soudain, il sort de sa cachette, si petit….Je m’aperçois alors de sa vulnérabilité et je le remet à sa place, sous la couverture du journal, et je lui montre qu’il doit rester tranquille , ce qu’il va faire. Nul n’aura vu ce lapin gris. »
N’est-ce pas étrange ? Très souvent, les songes peuvent paraître étranges et absurdes aussi, mais il faut savoir en attente l’interprétation que ne manque d’apporter l’Esprit saint.
En réalité, les « chasseurs » ne sont pas que des militaires, tous les militaires n’ont pas eu accès aux armes ni à la mort ; Ce sont ici des soldats entrainés à tuer.
Leur cible est unique, je le constate en regardant la composition des « canards » – tous de la même famille, identiques et semblables. Ils ont un même rythme de vol, ils volent pareillement.
Ils ne fuient pas en débandade, mais ils n’affrontent pas les soldats, ils « fuient » presque sereinement !
Ce que je sais, ce que j’ai entendu, c’est l’étrangeté d’un tir unique – un bruit étrange parque UNIQUE -
Un seul des soldats est équipé d’une arme étrange, dont le son est incomparable aux autres tirs.
Cet armement unique est une démarcation dans la masse des soldats présents sur le terrain, il représente un objectif caché, différent de ce qui est annoncé -
En réalité, il représente à lui-seul la vérité de l’action militaire.
Ces soldats avancent en rang de combat sur une seul ligne (un seul commandement) et l’origine de leur arme est celle de leur drapeau.
Ils savent ce qu’ils faut faire, ce qu’ils doivent faire, ce qu’ils font : pas de quartier, des morts.
Les morts sont nombreux, mais ils n’en n’ont rien à faire… Ils partent à la conquête de quelque chose.
J’ai compris ceci en ce qui concerne les « oiseaux » dans leur attitude incompréhensible : c’est que leur action de vol est juste faite de manière précise, afin de garder une certaine stabilité dans leur évolution, leurs déplacements. Ils avancent eux aussi de manière cohérente, et ils se maintiennent en position de vol à l’initial, mais aussi de façon à demeurer présent. Ils savent qu’ils vont « payer » un prix dans leur attitude mais ils ne cherchent pas à y renoncer.
Dans leur attitude à tous qui les absorbe pleinement, ils ne voient pas l’essentiel : LE LAPIN, caché sous les médias, caché par les médias.
Il doit demeurer encore pour un temps caché, immobile, MAIS IL EST PRESENT, IL EST LA !
Sa couleur est un camouflage, afin de ne pas être repéré avant le temps.
Le geste de protection que j’ai en sa faveur démontre que je le connais, que nous allons avoir un contact sur le même terrain, un terrain « occupé » de soldats.
Le LAPIN NE SORTIRA QU’APRES LE PASSAGE DES HOMMES ARMES.
J’associe cette vision à celui que le Seigneur appelle « LE SAMARITAIN » et je pense que bientôt, après le passage de cette « unité » dont l’action est spéciale – je ne dis pas en C.I mais en Afrique – l’Afrique vue d’un seul tenant, ce personnage commencera à être aperçu de ceux qui auront accès aux médias qui eux-même commenceront à parler de lui.
JEREMIE 50
Le « roi de Babylone » est tombé ! Babylone est prise, Bel (représentation du règne démoniaque et des esprits sataniques) est confondu.
Ordre de marche de la part de l’Eternel ! Dieu avertit, dit qu’il châtie le « roi de Babylone » à cause de son orgueil contre le Saint d’Israël (Christ Yeshua)
Destruction des hommes de guerre !
DIEU DIT : TUEZ !
LE TEMPS DU CHÂTIMENT EST ARRIVE !
V/44 – Dieu dit que nul n’est semblable à lui et personne ne lui donne des ordres !
Personne ne lui résiste !
Dieu a pris une résolution : LA CHUTE DE BABYLONE ET ÉTABLISSEMENT DE CELUI QUE DIEU S’EST CHOISIT.
Amen .

CELUI QUI EST « LE SAMARITAIN » MARCHERA DANS LES PAS DU SEIGNEUR.

Par Naomie, le 12 Février 2013.
SHALOM !
Ce dimanche ou le Saint Esprit me parla « encore » des qualités du « Samaritain », je me tenais devant le Seigneur en gémissant tant était grande ma peine devant les évènements déferlants.
Comment peut-on constater, voir et revoir encore, les drames se succéder les uns après les autres et demeurer figés ? Moi, je ne sais pas faire ! Je suis remplie des émotions qui me proviennent du cœur de Dieu et comme je suis vivante, je ris et je pleure en toute liberté.
Jérémie était ainsi, et pleurait devant le Seigneur de devoir lui aussi assister aux drames de son peuple.
Lorsque nous comprenons à qui nous avons a faire, que nous comprenons « enfin » la dimension divine, nous ne pouvons rien faire d’autre que de pleurer sur notre vie et nous réjouir de vivre de sa vie. C’est notre sort, c’est notre lot !
Mais je bénis ce jour où j’ai compris cela ! Certains ont maudis le jour ou ils ont été procréé, ignorants qu’ils étaient de leur destin d’homme créés par le Divin souffle de La Vie de Dieu.
Bénissons La Vie, trop d’entre nous ignore ce qu’elle est, alors pour combler des vides, l’Eternel dit à Moïse : JE SUIS CELUI QUI EST ! JE SUIS « LA VIE »
Donc, ce 3 Février dernier, devant les épanchements de mon cœur, l’âme en « berne » une réponse m’est donnée au travers de la lecture de Zacharie 8/9…. et la constatation faite est la suivante : le Seigneur revient de sa volonté première et nous comble de ses bienfaits.
Ne voyez là rien d’autre que l’amour divin coulant du cœur de dieu pour les siens ; Il n’est pas « girouette » changeant au gré du vent !
N’est-il pas dit pour notre enseignement que la volonté divine est immuable et éternelle, et que Dieu n’est pas homme pour changer et évoluer comme un humain.

Les biens que Dieu veut nous partager sont les suivants :
LA PAIX
LE FRUIT DE LA VIGNE
LE FRUIT DE LA TERRE
LA ROSEE DU CIEL
LE SALUT ET LA BENEDICTION
LE COURAGE SANS LA CRAINTE
LE BIEN A LA PLACE DU MAL
LA PRESENCE DE DIEU PARMI NOUS !

Puis voici ce qui en fut concernant « le Samaritain »
« Le SAMARITAIN » sera reconnaissable (le lapin gris caché) parce qu’il marchera dans la justice de Dieu, la « Juste Justice » dit le Seigneur !
Il sera « porteur » de la Grâce et « auréolé » de La Vérité !
Sa droite sera soutenue par la Grâce du Seigneur et le glaive sera remplacé par l’Epée de Justice !
Il ne demandera rien en ce qui le concerne, mais demandera tout pour son peuple et sa nation !
Il marchera avec zèle et autorité !
Son rayonnement sera grand parce que « auréolé » de la Grâce divine !
Son souhait reposera sur La Vérité !
Sa bienveillance sera concrète !
Son allure sera « vivante » !
S’il marche les « pieds nus » c’est qu’il reconnaitra marcher sur une « terre sainte «  celle-ci étant sanctifiée par la présence divine !
Il portera le nom du Seigneur (il portera mon nom), le nom de l’Eternel, comme un flambeau, comme un étendard !
De « guerrier » il deviendra « berger » et son épée sera la houlette du Seigneur !
La Grâce sera son accompagnement et les hommes se tiendront avec respect devant lui !
Il possédera l’autorité que donne l’humilité vraie et sa joie du salut sera son partage !
Ce n’est pas ce qu’il est qui aura de l’importance, c’est ce que le Seigneur fera de lui qui sera important ! »
Confirmation : Luc 18/35 à 43 – Le peuple aveugle recouvrera la vue parce qu’il aura cru en Christ Yéshua, l’envoyé de Dieu.
LE SOLEIL BRILLERA A SON ZÉNITH ET L’AFRIQUE SERA AINSI ÉCLAIRÉE. AMEN !

NOUVELLE CHRONIQUE DE HASSANE MAGUED

Révolution Permanente :
Message urgent aux Forces dormantes de Jéricho !
12 février 2013
Au terme de ma mission d’évaluation, je m’adresse à vous, Guerriers en position de Forces dormantes à Jéricho. 
 D’abord à tous.
Qu’entendiez-vous par être prêts ? « Nous sommes prêts. Il y a longtemps que nous sommes prêts. C’est vous qu’on attend.» Qu’entendiez-vous par cette expression ?
 Je vous ai évalué. Vous n’étiez pas prêts. Alors, vous êtes enjoints d’être réellement prêts. Immédiatement. Et tendez l’oreille. Vous saurez reconnaître le signe du Jour J.
 Mais pourquoi vous dis-je que vous n’étiez pas prêts ?
 Vous êtes prêts psychologiquement. Vous êtes prêts physiquement et vous avez la rage d’en finir avec le monstre puant. Et vous attendiez.
 Sans rien de plus. Alors, vous n’étiez pas prêts. Vous n’aviez aucune planification stratégique pour répondre au cri de l’Ange de Jéricho.
 Approvisionnement, localisation des sources, délai de réaction, passerelle d’intégration, réaction synchronisée de premier et second niveau, etc. etc. Vous n’étiez pas prêts. Alors, rectifiez immédiatement ce manquement car personne ne vous dira ni le Jour, ni l’Heure, sauf le Jour lui-même qui vous dira, me voici. 
 Ensuite, aux fils de l’Aigle.
 Quels sont ces Dignes fils qui apportent des vivres à l’Ange de Jéricho et lui demandent « donne nous quelque chose » ? Pourquoi voulez-vous quelque chose en échange de ce que vous avez reçu et deviez donner gratuitement ?
 Pourquoi voulez-vous que le peu que vous apportez à l’Ange pour accroître le potentiel du Dresseur de Jaguar vous rapporte quelque chose ? A quand la fin de ce comportement indigne ? Ordre vous est donné d’amasser et de mettre à disposition sans rien demander en retour qu’un bon usage.
Enfin aux fils du Dresseur de Jaguar dans l’entre du monstre puant.
 Pourquoi agissez-vous comme les fils de l’aigle ? Pourquoi faites-vous comme si vous rendiez service au Dresseur de Jaguar ? Ne savez-vous pas que vous avez été mis en mission dès le début et que ce vous avez ne vous appartient pas ? Ne savez-vous pas que vous aviez le devoir d’amasser et de partager car le Dresseur de Jaguar en a besoin pour vos frères de sang ? Que cesse ce commerce honteux ! Dresseur de Jaguar vous dira combien de jours il vous reste pour rejoindre la base arrière de l’Invisible afin d’éviter de venir à la rencontre de l’Ange de Jéricho du côté du feu dévorant.
A tous,
Parce que ordre a été donné pour que vous ne sachiez ni le Jour ni l’Heure, faites comme si c’était aujourd’hui jusqu’à ce qu’arrive Aujourd’hui. Vous saurez reconnaître Aujourd’hui dès que Dresseur de Jaguar et l’Ange de Jéricho feront entendre le son de la trompette.
 Que l’Eternel des Armées nous guide dans cette montée triomphale vers Jéricho !
 A Très Bientôt.
Hassane Magued.

NOUVELLE CHRONIQUE DE HASSANE MAGUED

Révolution Permanente :
Message urgent aux Forces dormantes de Jéricho !
12 février 2013
Au terme de ma mission d’évaluation, je m’adresse à vous, Guerriers en position de Forces dormantes à Jéricho. 
 D’abord à tous.
Qu’entendiez-vous par être prêts ? « Nous sommes prêts. Il y a longtemps que nous sommes prêts. C’est vous qu’on attend.» Qu’entendiez-vous par cette expression ?
 Je vous ai évalué. Vous n’étiez pas prêts. Alors, vous êtes enjoints d’être réellement prêts. Immédiatement. Et tendez l’oreille. Vous saurez reconnaître le signe du Jour J.
 Mais pourquoi vous dis-je que vous n’étiez pas prêts ?
 Vous êtes prêts psychologiquement. Vous êtes prêts physiquement et vous avez la rage d’en finir avec le monstre puant. Et vous attendiez.
 Sans rien de plus. Alors, vous n’étiez pas prêts. Vous n’aviez aucune planification stratégique pour répondre au cri de l’Ange de Jéricho.
 Approvisionnement, localisation des sources, délai de réaction, passerelle d’intégration, réaction synchronisée de premier et second niveau, etc. etc. Vous n’étiez pas prêts. Alors, rectifiez immédiatement ce manquement car personne ne vous dira ni le Jour, ni l’Heure, sauf le Jour lui-même qui vous dira, me voici. 
 Ensuite, aux fils de l’Aigle.
 Quels sont ces Dignes fils qui apportent des vivres à l’Ange de Jéricho et lui demandent « donne nous quelque chose » ? Pourquoi voulez-vous quelque chose en échange de ce que vous avez reçu et deviez donner gratuitement ?
 Pourquoi voulez-vous que le peu que vous apportez à l’Ange pour accroître le potentiel du Dresseur de Jaguar vous rapporte quelque chose ? A quand la fin de ce comportement indigne ? Ordre vous est donné d’amasser et de mettre à disposition sans rien demander en retour qu’un bon usage.
Enfin aux fils du Dresseur de Jaguar dans l’entre du monstre puant.
 Pourquoi agissez-vous comme les fils de l’aigle ? Pourquoi faites-vous comme si vous rendiez service au Dresseur de Jaguar ? Ne savez-vous pas que vous avez été mis en mission dès le début et que ce vous avez ne vous appartient pas ? Ne savez-vous pas que vous aviez le devoir d’amasser et de partager car le Dresseur de Jaguar en a besoin pour vos frères de sang ? Que cesse ce commerce honteux ! Dresseur de Jaguar vous dira combien de jours il vous reste pour rejoindre la base arrière de l’Invisible afin d’éviter de venir à la rencontre de l’Ange de Jéricho du côté du feu dévorant.
A tous,
Parce que ordre a été donné pour que vous ne sachiez ni le Jour ni l’Heure, faites comme si c’était aujourd’hui jusqu’à ce qu’arrive Aujourd’hui. Vous saurez reconnaître Aujourd’hui dès que Dresseur de Jaguar et l’Ange de Jéricho feront entendre le son de la trompette.
 Que l’Eternel des Armées nous guide dans cette montée triomphale vers Jéricho !
 A Très Bientôt.
Hassane Magued.

mardi 12 février 2013

QUEL EST CE DIEU QUE NOUS SERVONS ?

par Daniel Steen
« Les actions de Dieu sont parfois déroutantes. Il permet des moments « incompréhensibles » et, quand certains événements se produisent, nous traversons des moments de « désillusion ». …
Cette étude a été construite en partie à l’aide du livre: « En colère contre Dieu » de Michèle Novotni et Randy Petersen.

Introduction
Les actions de Dieu sont parfois déroutantes. Il permet des moments « incompréhensibles » et, quand certains événements se produisent, nous traversons des moments de « désillusion ».
C’est dans ces moments-là que l’image que nous nous sommes faite de Dieu se trouve « écornée », voire détruite. Alors, le terme « désillusion » est bien choisi. Cela veut dire que nous nous faisions des « illusions ».
En fait, nous avons besoin d’apprendre à connaître Dieu. D’ailleurs, il est écrit:
« Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. « Jean 7:3
C’est un phénomène très humain de se faire une « idée » ou une « image » de Dieu. Mais alors nous portons en nous cette image et c’est elle que nous annonçons autour de nous par notre façon d’être et de réagir aux événements.
Nous portons et nous annonçons ce qui nous imprègne:
Luc 6/45: « L’homme bon tire de bonnes choses du bon trésor de son cœur, et le méchant tire de mauvaises choses de son mauvais trésor; car c’est de l’abondance du cœur que la bouche parle. « 
Alors, quel est le Dieu que nous servons ?
Ex 20.13  » Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. « 
Ex 20:4-5: « Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; « 



Quels sont nos sentiments vis-à-vis de Dieu ?
Les déceptions
J’ai lu l’histoire d’une petite fille de 9 ans, Valentine. Un jour, elle fut tirée dans un véhicule, violée et jetée dans la rue.
Cette petite a grandi et, à l’âge de 50 ans, elle se demande encore comment Dieu a pu permettre cela. Pendant des années, à l’église, elle a fait semblant d’être bien.
C’est une déception extraordinaire. Le prophète Jérémie est passé par un chemin similaire, il écrit:
Jér 14;8-9: « Toi qui es l’espérance d’Israël, Son sauveur au temps de la détresse, Pourquoi serais-tu comme un étranger dans le pays, Comme un voyageur qui y entre pour passer la nuit? Pourquoi serais-tu comme un homme stupéfait, Comme un héros incapable de nous secourir ? Tu es pourtant au milieu de nous, ô Eternel, Et ton nom est invoqué sur nous: Ne nous abandonne pas! « 
Ce Dieu est « étranger » il n’est pas conforme à l’idée que nous nous faisons de lui. C’est d’ailleurs l’argument majeur utilisé par les personnes qui ne veulent pas de la foi : « Si Dieu existait, il ne permettrait pas ceci ou cela…»
Elles ne peuvent admettre l’existence d’un Dieu qui ne soit pas conforme à l’image qu’elles s’en font.
ll est d’ailleurs étonnant de constater que de nombreuses personnes se disent incroyantes; pour elles, Dieu n’existe pas. Mais quand il arrive des événements malheureux, c’est ce Dieu inexistant qu’on accuse !
La trahison
Il arrive que nous soyons en colère contre Dieu. Il est également assez fréquent que dans la vie chrétienne, nous luttions davantage contre Dieu que contre le malin. La colère prend naissance dans un sentiment d’injustice ou de trahison.
Ce qui est dangereux, ce sont les conséquences que peut engendrer la colère.
La bible ne dit pas que la colère est toujours mauvaise parce que Dieu lui-même s’est mis en colère; elle dit qu’elle doit être juste et contrôlée, ce qui est très difficile, voire impossible aux hommes. L’homme colérique est infréquentable parce qu’il se laisse emporter par la violence.
Prov 19/19: « Celui que la colère emporte doit en subir la peine; Car si tu le libères, tu devras y revenir. « 
Prov 22124: « Ne fréquente pas l’homme colère, Ne va pas avec l’homme violent. « 
La colère vient donc d’un sentiment d’injustice, de trahison. En fait, elle vient parce qu’une « loi » ou un « principe » qui nous habite a été transgressé. Par exemple, l’Ecriture parle de la colère de Dieu en ces termes :
Rom 4:15  » parce que la loi produit la colère, et que là où il n’y a point de loi il n’y a point non plus de transgression. »
C’est là l’expression d’un phénomène normal, « la loi produit la colère ». Nos cœurs sont souvent remplis de lois et de principes.
Quand nous avons le sentiment d’être trahi par Dieu, nous sommes en colère contre lui. Cette colère n’est d’ailleurs pas toujours exprimée, mais cela veut dire que Dieu a « transgressé » une règle, une loi que nous avions dans le cœur.
Ces lois ou ces principes qui nous habitent sont peut-être venus de notre vécu ou de notre recherche honnête de Dieu. Par exemple: « Dieu est amour ». Voilà un principe que nous retenons facilement. Par conséquent, lorsqu’un événement dramatique survient, nous avons l’impression d’être trompés.
A nos yeux, c’est une trahison, une amitié brisée: « Seigneur tu n’as pas tenu tes promesses. Tu es responsable de ma souffrance, n’est-il pas écrit que tu es amour ? »
L’amitié implique la loyauté. Quand une personne entre dans notre cœur, on ne peut pas admettre la trahison.
La colère vient parce que nous pensons que Dieu a « rompu le contrat ». Et ceci d’autant puisque jusque là, nous le servions avec joie !
De nombreux hommes de Dieu sont passés par ces sentiments:
Ps 2212: « Mon Dieu! Je crie le jour, et tu ne réponds pas; La nuit, et je n’ai point de repos. « 
Jér 16:17-18 : « Je ne me suis point assis dans l’assemblée des moqueurs, afin de m’y réjouir Mais à cause de ta puissance, je me suis assis solitaire, Car tu me remplissais de fureur. Pourquoi ma souffrance est-elle continuelle? Pourquoi ma plaie est-elle douloureuse, et ne veut-elle pas se guérir ? Serais-tu pour moi comme une source trompeuse, Comme une eau dont on n’est pas sûr? « 
Job 30/19-31 : » Dieu m’a jeté dans la boue, Et je ressemble à la poussière et à la cendre. Je crie vers toi, et tu ne me réponds pas; Je me tiens debout, et tu me lances ton regard. Tu deviens cruel contre moi, Tu me combats avec la force de ta main. Tu me soulèves, tu me fais voler au-dessus du vent, Et tu m’anéantis au bruit de la tempête. Car, je le sais, tu me mènes à la mort, Au rendez-vous de tous les vivants. Mais celui qui va périr n’étend-il pas les mains? Celui qui est dans le malheur n’implore-t-il pas du secours? N’avais-je pas des larmes pour l’infortuné? Mon cœur n’avait-il pas pitié de l’indigent? J’attendais le bonheur, et le malheur est arrivé; J’espérais la lumière, et les ténèbres sont venues. Mes entrailles bouillonnent sans relâche, Les jours de la calamité m’ont surpris. Je marche noirci, mais non par le soleil; Je me lève en pleine assemblée, et je crie. Je suis devenu le frère des chacals, Le compagnon des autruches. Ma peau noircit et tombe, Mes os brûlent et se dessèchent. Ma harpe n’est plus qu’un instrument de deuil, Et mon chalumeau ne peut rendre que des sons plaintifs. « 
On raconte l’histoire d’une femme, Jeanne, qui avait consacré sa vie au service du Seigneur. Elle lui avait donné son énergie, son temps, son argent.
Un jour, sa petite fille a été victime d’abus sexuels. Pourquoi cette petite n’a-t-elle pas été protégée ? N’était-elle pas protégée par le sang de Christ et par les prières de Jeanne ?
L’Abandon
Quand arrive ce genre de malheur et que « Dieu ne fait rien et n’a rien fait pour l’empêcher», nous nous sentons seul ! Même si des amis sont là pour nous entourer.
C’est le vide, parce que nous attendions autre chose de la part de Dieu, de ce qu’on imaginait.
ll est des événements pour lesquels nous ne sommes pas préparés. Alors la réaction humaine est de dire ou penser: « Si Dieu n’a pas l’intention de nous traiter correctement, pourquoi devrions-nous avoir à faire avec lui ? ».
Beaucoup de personnes arrêtent leur chemin vers Dieu à ce stade et font demi-tour.
Elles peuvent alors soit « vivre leur vie pleinement », soit sombrer dans une grande tristesse ou dans l’indifférence ou bien dans le rejet de Dieu, soit encore « aimer, aimer et encore aimer leur prochain » comme si elles avaient besoin d’expliquer à Dieu ce que c’est que l’amour ! Puisque lui, n’a rien compris !
Il est des manières de vivre qui sont des colères pédagogiques pour, en quelque sorte, expliquer à Dieu comment il devrait se comporter.
Il n’empêche que la relation avec lui est brisée, la colère est au fond du cœur et c’est cette solitude qu’on essaye de combler de toutes sortes de manières.
Elie a ressenti cela lorsqu’après avoir servi Dieu toute sa vie, il ne comprend pas pourquoi Jézabel règne en maîtresse et le poursuit pour le mettre à mort.
Elie, ce grand prophète, demande la mort, il déprime et veut disparaître. C’est, d’ailleurs, très étrange, car en deux versets qui se suivent, il cherche à sauver sa vie puis il veut mourir. En fait il ne veut pas mourir de la main de Jézabel ce qui serait un échec total, mais en même temps il ne comprend plus son Dieu et préfère disparaitre.
1 Rois 19/34: » Elie, voyant cela, se leva et s’en alla, pour sauver sa vie. Il arriva à Beer-Schéba, qui appartient à Juda, et il y laissa son serviteur. Pour lui, il alla dans le désert où, après une journée de marche, il s’assit sous un genêt, et demanda la mort, en disant: C’est assez ! Maintenant, Eternel, prends mon âme, car je ne suis pas meilleur que mes pères. « 




Pourquoi ont-ils fait un veau d’or ?
Lorsque les Hébreux ont quitté l’Egypte, ils ont assisté à de grands et redoutables phénomènes : les 10 plaies d’Egypte. Un homme osait affronter le pharaon au nom d’un Dieu que personne ne connaissait, sinon qu’en lointains souvenirs.
Quand tout ce peuple s’est trouvé coincé entre la mer et l’armée de pharaon, il a encore assisté à un grand prodige lorsque Moïse a levé son bâton. : La mer s’est ouverte en deux !
Mais au fond, ce Dieu, ils ne le connaissaient pas et le voilà qui les emmène dans un désert dans lequel l’eau est mauvaise, les conditions de vie sont épouvantables. Seul un homme, Moïse arrive à résoudre les problèmes lorsqu’ils se présentent, parce que lui seul parle avec Dieu.
Par conséquent tout passe par Moïse. Personne d’autre n’a de relation avec ce Dieu. Pouvons- nous imaginer un Dieu qui ne se montre qu’à travers des cataclysmes et des prodiges ?
Pensez à Moïse, le seul homme qui parle avec ce Dieu: c’est un être à part. Sans lui que va-t-il arriver ?
Or, c’est justement ce qui se produit : Moïse s’en va dans la montagne de Sinaï et on ne sait ce qu’il devient !
Le désert est terrible, on ne s’imagine la difficulté d’attendre 40 jours, et peut-être plus, sans la présence de celui qui parle avec Dieu et qui peut résoudre les problèmes quotidiens… Alors, l’humain reprend le dessus :
Ex 32/1 : « Le peuple, voyant que Moïse tardait à descendre de la montagne, s’assembla autour d’Aaron, et lui dit : Allons! Fais-nous un dieu qui marche devant nous, car ce Moïse, cet homme qui nous a fait sortir du pays d’Egypte, nous ne savons ce qu’il est devenu. « 
ll y avait un vide, l’homme qui les conduisait avait disparu. Ce vide, ils vont le combler avec des moyens humains, car il faut toujours le combler.
C’est une nécessité pour les êtres humains de croire à quelque chose, de mettre sa confiance dans quelque chose.
Même les personnes qui se disent athées mettent leur foi en quelque chose: la science, l’écologie, l’argent, la nature humaine, la philosophie, la politique, l’aide humanitaire, la force, la femme ou l’homme de leur vie, leurs enfants etc…. On trouve toujours une source d’espérer et de croire pour avancer dans la vie et donner un sens à sa vie.
N’est-ce pas ce que les Hébreux ont fait ?
Bien entendu, à notre époque un « veau d’or » ce n’est plus à la mode. Mais l’objectif du veau d’or était bien de les conduire dans leur chemin.
Il fallait un guide, un fil conducteur à leur vie, un sens. Qu’allons-nous devenir dans ce désert ?
Le veau d’or c’est un retour à ce qu’on connaît, aux « valeurs sûres » de l’humain. Ils se sont fait un Dieu selon leur conception.
Ex 32:2-6: « Aaron leur dit Otez les anneaux d’or qui sont aux oreilles de vos femmes, de vos fils et de vos filles, et apportez-les-moi. Et tous ôtèrent les anneaux d’or qui étaient à leurs oreilles, et ils les apportèrent à Aaron. ll les reçut de leurs mains, jeta l’or dans un moule, et fit un veau en fonte. Et ils dirent: Israël! Voici ton dieu, qui t’a fait sortir du pays d’Egypte. Lorsqu’Aaron vit cela, il bâtit un autel devant lui, et il s’écria: Demain, il y aura fête en l’honneur de l’Eternel ! Le lendemain, ils se levèrent de bon matin, et ils offrirent des holocaustes et des sacrifices d’actions de grâces. Le peuple s’assit pour manger et pour boire; puis ils se levèrent pour se divertir. « 
Notez bien que ce Dieu est bien unique, on lui attribue tous les prodiges de la sortie d’Egypte et, au bout du compte, il amène la joie et la tranquillité. Ce veau, ils ne l’appellent pas « veau », ils le nomment: « l’Eternel ».
Qu’attendons-nous de Dieu ?
Nous ne sommes pas toujours conscients du fait que nous avons des « clichés » sur Dieu. En voici quelques-uns qui vous feront peut-être rire.
Le Dieu Père Noël
C’est un Dieu brave qui distribue des cadeaux. Il regarde qui est sage et qui ne l’est pas. Mais au bout du compte, c’est Noël!, il pardonne et tout le monde a son cadeau.
Par exemple, ma mère disait que Dieu est tellement bon, que tout le monde sera sauvé au bout du compte.
Dans ce cas, on se demande pourquoi Jésus est venu mourir pour le salut de ceux qui se repentent ? Puisque les autres aussi seront sauvés ! Il suffit de patienter….
Le Dieu grand-père
C’est un bon grand père un peu sénile qui « aime voir les jeunes s’amuser ». A la fin de tout, son plan est de pouvoir dire « C’est bien, tout le monde a pris du bon temps ». Comme c’est un grand-père et non un père, il ne punit pas.
Pas de chance, l’Ecriture nous dit que Dieu est un Père et que, ce faisant, il nous éduque comme un père doit le faire.
C.S. Lewis a écrit ceci : « J’aimerais sans doute beaucoup vivre dans un univers gouverné de cette façon. Mais puisqu’il est tout à fait clair que ce n’est pas le cas, et puisque j’ai des raisons de croire, néanmoins, que Dieu est amour, j’en conclus que ma concession de l’amour doit être corrigée. »



Le Dieu policier de la route
C’est un Dieu qui aime la justice. Le tricheur doit être puni. L’irritation est grande quand le mal domine. Pourquoi notre Dieu ne punit-il pas ?
Par exemple: je roule à 97 km/h sur une route limitée à 90 km/h. D’un coup, un « fou » me double à 140 km/h. Je fulmine et espère qu’il se fera prendre ! Que justice soit faite ! Oui, mais moi aussi je dépasse la vitesse autorisée… oui, mais pour moi, c’est moins grave n’est-ce pas !
Cela s’appelle l’hypocrisie.
Venons-en à ce cliché: Dieu n’a jamais dit que les malfaisants seraient frappés sur le champ. Au contraire, Jésus nous a enseigné que l’ivraie pousse avec le blé !
Si Dieu frappait à tour de bras : comment serait-il aimé ?
Si Dieu récompensait à tour de bras : pourquoi serait-il aimé ?
Le Dieu bon génie
Ce Dieu répond à nos requêtes, pourvu qu’on fasse quelque acte, serment ou rituel. On passe une sorte de marché avec ce Dieu-là.
Par exemple, on pense que Dieu répondra à nos prières, sous-entendu comme nous le souhaitons bien sûr, si nous faisons ce qui lui plait (ou que nous pensons qui lui plait).
Nous savons bien que Dieu est tout puissant, et on aimerait tellement qu’il finisse par « céder » après un jeûne par exemple ! Ou un, don financier, ou une promesse, ou encore un cierge.
Cela s’appelle « faire du commerce » !
Quand on est honnête avec Dieu, il répond toujours à nos prières. Mais en son temps et pas forcément comme on l’aurait voulu. C’est ça qui est ennuyeux ! On ne « force » pas la main de Dieu.
Nous pouvons supplier le Seigneur, nous ne pouvons pas le faire plier.
Matt 6/7-8 : « En priant, ne multipliez pas de vaines paroles comme les païens, qui s’imaginent qu’à force de paroles ils seront exaucés. Ne leur ressemblez pas; car votre père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez. « 
Le Dieu Super Star
C’est un Dieu dont on est « fan », on connait tout de lui : ses écrits, ses exploits, sa vie. Bref, on n’a que lui à la bouche. On amène les amis aux réunions, parce qu’il va faire quelque chose: guérison, prophétie, chant en langues etc…
En fait, on le connait comme on connaît le président de la république ou comme on connaît Johnny Halliday. Mais quelle relation y a-t-il vraiment avec lui ?

Et toutes les autres images de Dieu…
On peut encore citer le « Dieu comptable » prêt à faire payer toute incartade.
Le « Dieu religieux » qui exige des sacrifices, des neuvaines et autres rites.
Le « Dieu grand maître spirituel » sorte de gourou sur un piédestal dont on vénère la statue.
Le Dieu distributeur de bénédictions comme la machine à café etc…
Quelques réflexions
Warren Ulliersbe :
« Job représentait une menace pour ses amis. Son expérience remettait en question la validité de leur théologie bien ficelée… Ils ne s’intéressaient pas vraiment à Job comme un être plongé dans la souffrance. Job représentait avant tout pour eux un problème dont ils devaient se débarrasser et non pas comme une personne qu’il fallait encourager ».
Komelis Miskotte :
En parlant d’Auschwitz il disait: « On peut toujours croire au Dieu qui a permis ce qui est arrivé, mais peut-on encore lui parler ? »
Ronald Dunn :
Dans son livre « Quand le ciel est silencieux », il explique que se reposer sur Dieu ne protège pas des blessures. Il ajoute que la foi dépendante de la prospérité n’est pas authentique.
Il écrit encore: « Job comprenait désormais que la doctrine orthodoxe en laquelle il avait cru toute sa vie était fausse. Sa théologie ne résistait pas au poids de la réalité. »
Il ajoute : « Parfois, nous nous trouvons isolé des autres parce que Dieu œuvre dans notre vie d’une façon différente, d’une façon inhabituelle et peut-être anti conformiste. Si différente, si anti conformiste qu’ils ne peuvent la considérer que comme un jugement ou une punition. A l’instar des amis de Job, ils doivent nier l’intégrité de la victime afin de défendre leur vision. »
 »« Mais la plus grande des solitudes n’est pas provoquée par l’isolement de la famille, des amis, de la société, mais bien le soupçon d’avoir été abandonné par Dieu.
Les plus courageux viennent me voir après le culte. Je les aperçois du coin de l’œil. Ils ne s’approchent pas avant que je sois seul, avant que je finisse de saluer les gens et de serrer les mains. Certains abandonnent et retournent chez eux. Mais d’autres restent, traînant innocemment, un peu à l’écart de la foule. Quand je suis enfin seul, ils s’approchent et lançant des regards furtifs, ils s’expriment avec des paroles circonspectes, en murmurant, la gorge nouée. Ils ne connaissent que les ténèbres.
Ils sont des parias, parce qu’ils souffrent d’une affliction spirituelle. Ils représentent une source d’embarras pour les autres membres de l’église de la bonne humeur. Ils répugnent à avouer leurs ténèbres, de crainte d’entendre toujours les mêmes abominations : « repens-toi », « crucifie la chair », « compte tes bénédictions », « sois reconnaissant de ne pas avoir le cancer ».
Je pense que certains seraient prêts à échanger leurs ténèbres contre le cancer. Au moins alors, ils pourraient reconnaître leur douleur et trouver aide et réconfort.
Qu’est devenu le veau d’or ?
Quand on analyse le processus qui a amené les Hébreux à se faire un veau d’or, nous voyons que ce peuple n’avait pas de relation intime avec ce Dieu qui se disait être « leur Dieu ». En fait, ils ne connaissaient Dieu que par un intermédiaire. Cela les a conduits à avoir un comportement irrespectueux envers le vrai Dieu. Nous aurions sans doute fait de même.
Quand Moïse est revenu de la montagne, il ne pouvait pas enseigner ce peuple, parce que celui-ci pensait avoir trouvé la vérité dans le veau d’or, et la joie était au rendez-vous.
Alors, il a brisé les tables de la loi. Il fallait d’abord détruire, une fois pour toutes, la fausse image que le peuple se faisait de Dieu.
Ex 32/19-20: « Et, comme il approchait du camp, il vit le veau et les danses. La colère de Moïse s’enflamma; il jeta de ses mains les tables, et les brisa au pied de la montagne. ll prit le veau qu’ils avaient fait, et le brûla au feu; il le réduisit en poudre, répandit cette poudre à la surface de l’eau, et fit boire les enfants d’Israël. « 
Notez bien qu’en la circonstance le peuple n’était pas enseignable, par contre le veau a été réduit en poussière et ils l’ont eu « dans l’estomac ». lls ont donc dû le « digérer » !
Quelle curieuse méthode ! Je pense que de nos jours, Moïse serait passible d’un tribunal international après un tel traitement.
Cependant, que faut-il comprendre ? C’est que quelquefois, nous avons de tels clichés tenaces sur Dieu, de telles forteresses de pensées, qu’il faut un événement particulier dans notre vie pour le mettre en évidence et le détruire définitivement. Nous devons, en quelque sorte, le manger et le digérer !
Nous voyons qu’après avoir fait « boire » le veau d’or au peuple, Moise propose un choix et déclare une purification :
Ex.32: 26-27: » Moïse se plaça à la porte du camp, et dit A moi ceux qui sont pour l’Eternel ! Et tous les enfants de Lévi s’assemblèrent auprès de lui. ll leur dit: Ainsi parle l’Eternel, le Dieu d’Israël: que chacun de vous mette son épée au côté; traversez et parcourez le camp d’une porte à l’autre, et que chacun tue son frère, son parent. « 
Que faut-il comprendre ?
C’est que lorsque l’image que nous nous sommes faite de Dieu est détruite, il y a un choix: voulons-nous chercher et continuer avec Dieu ou nous arrêter ? Si nous continuons, il faudra purifier nos vies, j’allais dire « purger » nos vies de ce qui est faux.
Nous remarquons bien souvent qu’après un « coup dur » de la vie qui a détruit les idées fausses, certaines personnes cherchent à se rapprocher de Dieu et d’autres s’en éloignent le plus possible.
C’est le choix proposé par Moïse aux Hébreux:
Qui sont ceux pour l’Eternel ?
Quand Jésus voyait un malade, il disait « que veux-tu que je fasse ? » ou encore: « veux-tu être guéri ? ». Comme si cela n’était pas évident !
En réalité, Jésus disait : « as-tu réfléchi au sens de la guérison ? »
Et bien non, ce n’est pas évident ! Certaines personnes ne souhaitent pas être guéries. Parfois pour ne pas perdre les allocations, d’autres fois pour continuer à être bien entourées affectivement, ou encore parce qu’alors il faudrait aller travailler, ce qui nécessite du courage et une réadaptation etc….
Bref, quand l’image qu’on s’est faite de Dieu est cassée, on peut se laisser soigner par Dieu ou alors s’éloigner et prendre en main la situation soi-même, parce qu’on sait ce qu’on a, on ne sait pas ce qu’on aura !
Comment Dieu soigne-t-il ?
Nous avons besoin d’être guéris de nos constructions mentales. Pour cela, Dieu nous a laissé des remèdes. ll est écrit :
Prov 18/21 : « La mort et la vie sont au pouvoir de la langue: Quiconque l’aime en mangera les fruits. »
La question est donc: « Quelle parole aimons- nous manger ? ». Quelqu’un a dit: « On guérit toujours par la parole d’un autre. »
Guérir ce n’est pas retrouver l’état dans lequel on était avant la maladie. On entre dans la maladie dans un état mental, on en sort dans un autre état mental.
La parole de Dieu est l’aliment qui peut guérir nos vies, changer nos mentalités et construire une bonne relation avec Dieu.
Par exemple, nous avons vu plus haut qu’Elie voulait mourir dans le désert, parce que sa conception du Dieu « justicier » venait d’éclater en morceaux. Que s’est-il passé ?
I Rois 19: 5-6: « ll se coucha et s’endormit sous un genêt. Et voici, un ange le toucha, et lui dit Lève-toi, mange. Il regarda, et il y avait à son chevet un gâteau cuit sur des pierres chauffées et une cruche d’eau. Il mangea et but, puis se recoucha. L’ange de l’Eternel vint une seconde fois, le toucha, et dit: Lève.toi, mange, car le chemin est trop long pour toi. Il se leva, mangea et but; et avec la force que lui donna cette nourriture, il marcha quarante jours et quarante nuits jusqu’à la montagne de Dieu, à Horeb. »
Nous constatons que Dieu prépare pour lui une nourriture céleste adaptée. Elie n’en peut plus, il est « sans programme », n’ayant plus rien à faire, il dort pendant qu’un ange lui prépare le repas !
Il arrive qu’après un événement douloureux nous soyons « assommés, KO ». Au fond, quand une personne est tombée à l’eau, il faut parfois l’assommer pour arriver à la sortir de l’eau vivante. Sinon elle se débat et coule avec son sauveteur. Dieu pratique parfois de cette manière.
C’est un temps pour se nourrir, manger un repas spirituel que nous n’aurions pas mangé autrement.
ll faut parfois des événements douloureux pour que nous redevenions « enseignables » par Dieu, capables d’écouter autre chose que nos certitudes.
En terme moderne, cela s’appelle un « recadrage ». Dieu recadre Elie et lui montre une autre façon de voir, une autre facette de sa personne:
1 Rois 19:11-12: « L’Eternel dit Sors, et tiens-toi dans la montagne devant l’Eternel! Et voici, l’Eternel passa. Et devant !’Eternel, il y eut un vent fort et violent qui déchirait les montagnes et brisait les rochers: l’Eternel n’était pas dans le vent. Et après le vent, ce fut un tremblement de terre: l’Eternel n’était pas dans le tremblement de terre. Et après le tremblement de terre, un feu: l’Eternel n’était pas dans le feu. Et après le feu, un murmure doux et léger. « 
Elie est obsédé par une question qu’il ne dit pas clairement, une question que tous les hommes se posent: « Pourquoi ? »
Dans ces moments spéciaux, c’est toujours la même question qui revient. « J’ai fait ceci et cela pour te servir et voilà ce qui m’arrive. Pourquoi ? ».
J’ai beaucoup travaillé pour élever mes enfants et maintenant ils m’abandonnent… pourquoi ?
Toute ma vie j’ai pensé aux autres, à présent je suis seul… Pourquoi ?
Vous remarquerez qu’Elie explique à Dieu plusieurs fois ce qu’il a fait pour le servir et Dieu fait comme s’il n’entendait pas Au contraire, il dit : « Que fais-tu ici Elie ? »
I Rois 13/9-14: « Et là, il entra dans la caverne, et il y passa la nuit. Et voici, la parole de l’Eternel lui fut adressée, en ces mots: Que fais-tu ici, Élie? ll répondit J’ai déployé mon zèle pour l’Eternel, le Dieu des armées car les enfants d’Israël ont abandonné ton alliance, ils ont renversé tes autels, et ils ont tué par l’épée tes prophètes: je suis resté, moi seul, et ils cherchent à m’ôter la vie……… Quand Elie l’entendit, il s’enveloppa le visage de son manteau, il sortit et se tint à l’entrée de la caverne. Er voici, une voix lui fit entendre ces paroles: Que fais-tu ici Elie? Il répondit: J’ai déployé mon zèle pour l’Eternel, le Dieu des armées; car les enfants d’Israël ont abandonné ton alliance, ils ont renversé tes autels, et ils ont tué par l’épée tes prophètes; je suis resté, moi seul, et ils cherchent à m’ôter la vie. »
Dieu ne fait pas une « guérison miraculeuse », il fait réfléchir Elie en se présentant à lui autrement qu’il ne l’attendait. Ça prend du temps pour reconstruire une personne…
Conclusion
Chercher à connaître Dieu est le sort de tout homme. Il est normal que nous apprenions qui est Dieu par les Ecritures, mais aussi « sur le tas », par l’expérience… en tâtonnant !
Actes 17:26-28: « Il a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitassent sur toute la surface de la terre ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure; il a voulu qu’ils cherchassent le Seigneur, et qu’ils s’efforçassent de le trouver en tâtonnant, bien qu’il ne soit pas loin de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être. »
ll est normal aussi que nos images de Dieu soient confrontées à la réalité, on ne change pas la réalité. Un fait est un fait…
Cependant, nous n’avons jamais tous les tenants et aboutissants. Dieu est aux cieux et nous sommes sur terre, il connaît tout et nous ne connaissons que peu de choses.
Essaie 55:9: « Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, Autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, Et mes pensées au-dessus de vos pensées. »
La théologie, c’est l’étude de Dieu…
Si notre théologie ne résiste pas à la réalité, c’est qu’elle est incomplète ou fausse !

vendredi 1 février 2013

De l’impasse au miracle divin, il n’y a qu’un seul petit pas


Côte d’Ivoire ta délivrance n’est plus loin, reste ferme !
Depuis  le 11 avril 2011,  date à laquelle la rébellion  a triomphé de la démocratie ivoirienne sous les bombes de l’armée française, nous savions les droits de l’homme enterrés. Mais, il ne nous était jamais venu à l’esprit que désormais un animal proche de M. Ouattara (président  installé de force par la communauté internationale) avait plus de droit qu’un Homme demeuré fidèle à M. Laurent Gbagbo, Président élu par le peuple ivoirien, enlevé par la Communauté internationale et déporté à La Haye.
Malheureusement, la terreur qui s’abat sur la population ivoirienne pour la soumettre à Ouattara le laisse croire. Des emprisonnements en masse, des mutilations incapacitantes volontaires, aux exécutions sommaires, tout y passe sous le regard admiratif des parrains du pouvoir ivoirien, la communauté internationale. Chaque ivoirien vit dans la peur d’un enlèvement pour refus de reconnaitre l’élection à la bombe de M. Ouattara. Un délit désormais qualifié d’atteinte à la sureté de l’Etat.
Les ivoiriens résidents au pays, martyrisés et apeurés, plaçaient beaucoup d’espoir dans la lutte initiée par leurs Frères vivant en exil. Ils gardaient espoir que de l’usage de leur liberté d’expression dans leur quête de vérité sur la tragédie ivoirienne naitrait la lumière qui viendrait chasser les ténèbres qui enveloppent notre nation. Ils ne comptaient pas avec l’audace de l’homme qui a décidé de faire de la Côte d’Ivoire un cimetière à gérer à sa guise sans aucun regard critique. M. Ouattara certain d’avoir réussi à embastiller la Côte d’Ivoire, embrigadé les plus téméraires des ivoiriens sur leur terre, s’est lancé sans merci à l’assaut des exilés. Objectif, les réduire au silence afin que la vérité sur ses crimes et son imposture en Côte d’Ivoire ne se sachent jamais. Il a pour ce faire, mobilisé les hommes et les moyens colossaux pour retrouver et apprivoiser les damnés de son pouvoir vivant hors du territoire. Il a jeté son dévolu sur  les exilés au Ghana. 
La première victime, Charles Blé Goudé. Arrêté le jeudi 17 Janvier 2013 à son domicile à Accra, le Ministre Charles Blé Goudé a été extradé vers Abidjan le jour suivant.  Sur cette extradition, les commentaires vont bon train. Certains l’accusent de deal avec Abidjan, d’autres par contre évoquent une trahison dont a été victime le Président de la galaxie patriotique. Il aurait été livré par d’autres exilés. En attendant que l’avenir nous éclaire, de ces commentaires abondants souvent contradictoires et passionnés, émerge une vérité : Charles Blé Goudé est effectivement une icône de la lutte anti-impérialisme français en Côte d’Ivoire en qui le peuple ivoirien plaçait beaucoup d’espoir pour sa délivrance. C’est à juste titre que son arrestation et son transfert  dans le mouroir Alassaniste a jeté l’émoi dans ce peuple. Le choc est si grand que l’espoir d’un succès dans la bataille contre la représentation Française  installée depuis le 11 Avril 2011 par une pluie de bombes étrangères semble s’amenuiser. Le scepticisme gagne du terrain.
Alors que nous étions à épiloguer sur les conditions, les implications de l’extradition du camarade et l’incidence sur la lutte, le pouvoir d’Abidjan continue d’étendre son filet sans aucune forme de procédure pour nous ramener  tous à lui mani-militari  afin de nous imposer  la réconciliation pour le plaisir de ses mandants étrangers. Une réconciliation armée pour consolider le pouvoir issu de la démocratie des bombes. Ainsi, nul n’est épargné, à l’exception de quelques uns (suspectés de livrer les autres), tous se trouvons être dans leur viseur. C’est devenu un sauve-qui-peut, tous sommes dans une course folle aux cachettes afin de nous mettre à l’abri dans notre pays de refuge. Le scepticisme grossit.
La délivrance de la nation, nombreux n’y croient plus. Mettant en opposition les promesses divines et l’acuité de la souffrance du moment, ils commencent à mettre en doute la capacité de Dieu à nous délivrer de la mort qui couvre le pays depuis la matinée du lundi 11 avril 2011. Aujourd’hui plus que jamais, nombreux sont ceux qui rêvent à un strict minimum de compromis avec l’ogre d’Abidjan pour avoir la vie sauve. Ainsi, le mensonge aurait triomphé de la vérité, le mal du bien, les ténèbres de la lumière : C’est l’impasse, la délivrance semble devenir un rêve impossible. Les questions fusent :
-          Pourquoi des frères d’exil, partageant le même idéal peuvent-ils livrer d’autres ?
-          Pourquoi Ouattara prospère-t-il tant dans la méchanceté ? Que fait Dieu? Aurait-il oublié ses promesses ?
A la première question, sans être exhaustif, trois raisons m’effleurent l’esprit.
Primo, ceux qui livrent leurs frères pourraient intégrer un plan glorieux de Dieu pour leurs victimes. Les voies de Dieu étant insondables, par leur méchanceté ces frères pourraient être des instruments divins afin que Dieu démontre la plénitude de sa puissance dans la situation désespérée provoquée. La cupidité de Judas n’a-t-elle pas envoyé Jésus Christ à la croix pour la gloire éternelle ? N’est-il pas vrai que par méchanceté des frères de Joseph l’ont conduit à la royauté ?  C’est à juste titre que Christ pouvait dire << Malheur au monde à cause des scandales ! Car il est nécessaire qu’il arrive des scandales ; mais malheur à l’homme par qui le scandale arrive !>>. Que ceux qui ont des oreilles pour entendre, entendent ce que l’esprit de Dieu dit aux églises.
Secundo, pendant que nous tendons vers la fin du conflit, chaque ivoirien doit commencer véritablement à intégrer en lui, la dimension spirituelle de la lutte. En ce sens que les partenaires politiques peuvent être des adversaires dans le spirituel. Nous sommes dans une lutte entre deux forces. Celle du mal et celle du bien. Dans le spirituel, il n’est pas exclu que certains des nôtres en dépit de leur engagement soient sous domination spirituelle du pouvoir passager d’Abidjan. Aussi, agissent-ils sous influence de puissance maléfique et aucune raison humaine ne pourrait expliquer qu’ils livrent leurs frères. Nous arrivons au point de séparation distincte entre les deux forces afin que la victoire de Dieu soit sans ambigüité.
Tertio, la raison la plus répugnante, la quête de gloire personnelle dans une lutte pourtant divine où il est claire qu’à terme, Dieu ne partagera sa gloire avec personne. Nonobstant, ce contour divin de ce combat dont Dieu seul en  détient le chronogramme, nos ambitions politiques tendent à la transformer en une lutte hégémonique où les uns veulent écraser les autres. La concurrence semble si forte qu’on ne manque pas d’user de nos appuis sur cette terre étrangère pour nuire à nos propres frères. Heureusement que Dieu dans sa souveraineté permet tout cela  pour enrichir les témoignages à sa gloire au jour de la délivrance.
Dans tous ces cas, ayons l’assurance que Dieu lui-même suscite l’adversité pour se glorifier. Mais, si nous demeurons fermes, respectueux de sa parole et de ses interdits, la victoire reste nôtre. Cela est d’autant plus vrai que l’Eternel dit en Jérémie1-19 << Ils te feront la guerre, mais ils ne te vaincront pas ; car je suis avec toi pour te délivrer… >>. Si nous nous retrouvons dans le filet de l’ennemi, ne récriminons pas vainement contre un frère supposé traître. Accordons-lui notre pardon, recherchons dans notre conduite le manquement aux ordonnances de Dieu et fléchissons genoux devant son trône par une repentance sincère et observons s’il lui est impossible de nous délivrer.   
A la seconde série de questions relatives à la prospérité de Ouattara dans le mal et la passivité apparente de Dieu, que puis-je dire d’autre ?
Oui, Ouattara prospère dans le mal. Dans le sang de milliers d’innocentes personnes, il est parvenu au sommet de l’Etat. C’est encore dans le sang de cette innocente population qu’il tente de se la soumettre. En dépit de ses  crimes dont la puanteur ne laisse personne désormais indifférente, les chancres des droits de l’homme, la communauté internationale ne manque pas de l’encenser. Oui, le démon est angélisé tandis que ses victimes sont diabolisées. Comment cela aurait pu être autrement quand on sait Ouattara un simple agent de celle-ci en mission en Côte d’Ivoire.  Oui, le tableau est effectivement sombre. Ouattara vole de victoire en victoire dans l’orgueil et l’arrogance face à des adversaires de plus en plus affaiblis. Le cœur endurci dans le mal, Ouattara marche impitoyablement sur nous. Alors que nos forces déclinent face à l’ennemi plus féroce que jamais, les uns murmurent contre Dieu pour son incapacité à tenir parole et d’autres conscients d’être au terme de toute leur possibilité gardent les yeux rivés sur Dieu par foi ou par résignation. C’est donc l’impasse. On commence à ne plus y croire.  Notre attachement à Dieu et à ses promesses de délivrance auraient-ils été vains ?
Oh !!! Que non. Peuple ivoire, ton Dieu est au contrôle. Ce qu’il dit, s’accomplit toujours. Ce qu’il a dit sur la Côte d’Ivoire est en accomplissement et celui-ci tend vers son terme. De Ouattara, la bible dit en Daniel 8(23-25) : << … il s’élèvera un roi impudent et artificieux. Sa puissance s’accroîtra, mais non par sa propre force ; il fera d’incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints. A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l’arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d’hommes qui vivaient paisiblement, et il s’élèvera contre le chef des chefs ; mais il sera brisé, sans l’effort d’aucune main >>. Au quotidien, Ouattara fait la démonstration de la véracité de cette parole. L’exercice de son pouvoir est résumé en ces quelques versets. Tranquillise-toi, car la parole de Dieu s’accomplit toujours totalement et parfaitement. Il sera brisé sans l’aide d’aucune main à la gloire de l’Eternel des armées.
L’impasse dans laquelle tu es, est annonciatrice de ta libération, ton miracle.  L’orgueil, l’arrogance, l’endurcissement du cœur, les succès apparents de l’ennemi  et notre faiblesse sont à la gloire de Dieu. De l’impasse au miracle divin, il n’y a qu’un seul petit pas. Les enfants d’Israël nous en donnent le meilleur témoignage. Le plus grand miracle de leur vie, la division de la mer rouge en deux pour les y laisser passer pour ensuite engloutir  l’armée de Pharaon, a été précédé d’une impasse suscitée et entretenue par l’Eternel lui-même selon qu’il a dit à Moïse en Exode 14(1-4): << Parle aux enfants d’Israël ; qu’ils se détournent, et qu’ils campent…en face de ce lieu…près de la mer. Pharaon dira des enfants d’Israël: Ils sont égarés dans le pays ; le désert les enferme. J’endurcirai le cœur de Pharaon, et il les poursuivra ; mais Pharaon et toute son armée serviront à faire éclater ma gloire, et les Egyptiens sauront que je suis l’Eternel…>>. La suite est connue. Pendant que le désespoir était à son comble chez les élus de Dieu devant la mer rouge alors que l’ennemi semblait avoir le dessus, la gloire de Dieu s’est manifestée.  Israël a été délivré et l’armée de Pharaon engloutie.  
Il s’agit du même Dieu. Celui pour qui, il n’y a pas d’impossibilité. Côte d’Ivoire, ton histoire est prophétique. Bientôt, tes pleurs seront transformés en sanglots de joie. Il suffit d’y croire. Accroche-toi à la vérité qui guide ta lutte. Dieu n’abandonne jamais les justes.  Que le temps n’ait point raison de ta soif de vérité sur les résultats des élections présidentielles de novembre 2010. Convaincu qu’aucune armée étrangère ne peut vider le contentieux électoral de ton pays sinon que le recomptage des voix, sois patient et persévérant dans ta quête de vérité et tu verras la majesté divine s’exprimer.
Aux politiques encore en quête de compromis guidés par leur intelligence, il me plait de rappeler modestement encore que tout compromis en dehors de la vérité électorale sera une compromission. Dieu est conscient de notre faiblesse. Il a tendu sa main pour nous aider à sortir victorieux de cette injustice à nous faite par la communauté internationale et leurs sbires. Ne la raccourcissons par nos jeux d’intelligence. Restons accrochés à notre quête de vérité des urnes et observons la démonstration de sa puissance. Il n’y a aucun lien entre le jour et la nuit, entre les ténèbres et la lumière, entre la justice et l’injustice. Il ne doit y avoir aucun. Soyons forts, dignes dans l’épreuve. Acceptons de subir le courroux du diable aujourd’hui en toute intégrité afin qu’au jour de la vengeance de l’Eternel, qu’il n’ait aucune confusion entre le diable et nous. Surtout que ce jour n’est plus loin.  
Que Dieu nous bénisse !
Fait le 30-01-2013
Le Ministre Charles Rodel Dosso

LES PREDICTIONS DE TB JOSHUA POUR 2013

Note de gehco: Plusieurs frères m’ont demandé de mettre en ligne les prédictions de TB Joshua. Ce prophète est connu surtout chez les anglophones. Il est connu pour son franc parlé, mais surtout pour la précision dans la réalisation de ces prophéties. Il est Nigerian et propriétaire de la chaine de TV « Emmanuel ».  Son église se nomme synagogue church of all nations(SCOAN International). Vous connaissez peut être quelques unes de ses récentes et célèbres prophéties en directes pendant le culte:
- l’élection de John  ATTA Mills au troisième tour des présidentielles
- la prédiction du décès de Michael Jackson, du Président Malawite Levi Manawasha
- la défaite des éléphants à la CAN 2012 avec un raté de panalty
- la chute de LG
- etc
BONNE LECTURE

  1. 2013 sera une année de surprises : Je vois beaucoup de grands hommes célèbres, populaires et riches et des hommes politiques perdre leurs pouvoirs. Ils auront besoin d’aide parce qu’ils seront frappés par la maladie, la pauvreté et la mort, etc
L’une des causes de ces malheurs est liée au fait qu’ils n’ont pas réussi à récompenser ceux qui les ont aidés à réussir. C’est l’année du jugement, en
particulier pour les politiciens qui utilisent les jeunes pour soutenir leurs ambitions politiques sans récompense après la conquête du pouvoir.
Dis à ton voisin: Récompense ceux qui t’ont aidé à réussir maintenant.
2.  Ceux qui investiront dans le domaine de l’agriculture auront du succès cette année. L’agriculture sera à l’ordre du jour et contribuera grandement à la
source de la solution de cette année. Les personnes engagées dans ce domaine seront grandement bénis.
3.   Ceux qui sont inquiets au sujet de leur foie au sujet de Dieu et qui haïssent le péché – les fidèles – vos prières pendant de nombreuses années ne sont
pas perdus. Cette année, il y aura des réponses instantanées à vos prières, surtout les femmes considérées comme stériles jusqu’à ce jour. Le stérile de
longue date deviendront mère de nombreux bébés à compter de cette nouvelle année.
4.  Les catastrophes naturelles, il y en aura beaucoup cette année : Les accidents de la circulation, des catastrophes aériennes, dégâts causés par la mer.
Passons à Dieu. Avec Dieu, tout est possible.
5. Cesser de prier contre vos ennemis mais prier pour eux. Cette année, vous verrez clairement que Dieu est le Dieu de la vengeance.
6. Faites du bénévolat : donnez aux pauvres et les nécessiteux. Donner des bourses à ceux qui les méritent. Cette année, la récompense est grande, si
vous le faites avec tout votre cœur. Peu importe le montant, partagez avec les autres. Partagez leur douleur et partagez leur joie.
7. Nos jeunes qui pensent toujours à voyager devraient utiliser l’argent  (1000 $, 1500 $, 2000 $) pour se lancer dans l’agriculture car les denrées
alimentaires seront source de bénédiction en cette nouvelle année. Ils vont atteindre la grandeur en effectuant des opérations dans le secteur agricole
et agro-alimentaire et réussir dans l’exportation et l’importation d’affaires.
Ceux qui ont travaillé pendant de nombreuses années et qui n’ont jamais été satisfait du travail et de  leur salaire qu’ils reçoivent, le peu de ressources
limitées à leur disposition doivent être investis dans des entreprises de denrées alimentaires ou l’agriculture, en particulier ceux qui sont déjà mariés.
Ils  devraient se répartir de manière que le mari ou la femme démissionne de son service où ils reçoivent un salaire pour s’investir dans  l’agriculture.
Entreprise de denrées alimentaires, d’agriculture ou de l’élevage sont des entreprises oints de cette nouvelle année. Ces entreprises aideront à  faire
revivre le monde de la dépression économique. Ceci est le secret de Dieu révélée à vous aujourd’hui. Croyez-moi, vous ne regretterez.
Mon nom est T.B. Joshua.